Que cette édition du MaMA 2021 était belle! Trois jours intenses de musiques et de rencontres. Nous vous racontons !

Que les retrouvailles ont été belles! Cette onzième édition nous a surpris comme toujours et a réussi, avec brio, à réunir  professionnels, médias et grand public pendant trois jours de concert malgré le contexte sanitaire.

Les rédacteurs et rédactrices présent.es au MaMA vous racontent chacun leur plus grosse claque, leur plus belle découverte… et une anecdote croustillante du festival !

Le MaMA selon Anaëlle

La claque : Gargäntua

Gargäntua, Gargäntua, Gargäntua ! C’est l’un des groupes qui m’a le plus époustouflée (et essoufflée) depuis le retour des concerts en 2021. Impossible de s’arrêter de danser pendant 45 minutes : d’une énergie délirante sur scène, le duo est parvenu sans mal à entraîner la foule dans son univers sombre, cynique et dansant. Entre beats effrénés, chant possédé et prestation scénique démente, Gargäntua a roulé sur le festival sans autre forme de procès.

© Mickaël Burlot

La belle découverte : Franky Gogo

Le MaMA tout simplement ❤️ Outre ça, la prestation de Franky Gogo m’a particulièrement marquée le mercredi soir aux Trois Baudets. L’artiste nous a offert un spectacle fiévreux, électrisant, entrecoupé de quelques moments calmes d’une grande sensibilité. Les titres les plus dansants, comme ‘Fast and too Much’ ou ‘Welcome to Minustown’, ont mis tout le monde d’accord. Quoi de plus satisfaisant que voir un public assis se lever et se presser devant la scène tant le spectacle est envoûtant ?

Une anecdote ?

Avant le MaMA, je n’aimais pas le Picon bière. Maintenant il me semble que j’aime ça.

Le MaMA selon Eric

La claque : David Numwami

David Numwami est en passe de s’imposer comme le petit chouchou de la pop française et le monde qui s’était réuni aux Trois Baudets jeudi soir au MaMA Festival semble confirmer la tendance. Dans cette salle mythique est particulièrement adaptée à son live – ambiance intimiste et proximité avec le public – il a prouvé s’il le fallait que c’est une bête de scène. 

Complet noir, bob vissé sur la tête et tresses perlées, David Numwami arrive sur scène dans une totale décontraction. Sa bonhomie naturelle réussit à conquérir le cœur du public en deux phrases, et pour les derniers récalcitrants il suffira d’une chanson et demie pour mettre tout le monde d’accord : David Numwami est ultra doué et mange l’espace comme personne, bref il est taillé pour le live.

 Il nous avait déjà montré ses talents d’instrumentiste et de vocaliste aux côtés de Charlotte Gainsbourg et Sébastien Tellier, mais aussi en tant que leader au sein de son groupe, Le Colisée. Aujourd’hui, il est accompagné d’un claviériste qui s’occupe de la partie synthé et qui envoie ses bandes, tandis que David Numwami est à la guitare et au chant. Avec brio, il déroule un live qui mêle ses nouvelles compositions et des titres plus anciens, notamment de son projet Le Colisée avec ‘Geraldine’.

Sa voix haute perchée résonne dans les Trois Baudets et il prend du plaisir à être en face de nous, ça se sent et c’est communicatif. Il finit son concert magistralement façon Jimi Hendrix en faisant subir toutes sortes de sévices à sa guitare pour le plus grand bonheur de nos oreilles. Avant de partir, il s’autorise un rappel en rejouant son titre phare du Colisée, s’octroie un bain de foule bien mérité et termine son concert au milieu des gradin. Chapeau l’artiste! 

La belle découverte : Marina Satti

Le MaMA Festival est toujours l’occasion de faire de nouvelles découvertes musicales ou au moins de voir en live des artistes qui ne passent pas tous les jours par la capitale ou même par l’hexagone et c’est justement le cas de Marina Satti.

J’attendais son concert avec impatience pour savoir si sa performance live était à la hauteur des enregistrements studio. Pour ceux qui l’ont vu aux Transmusicales de Rennes, on était ici dans un format plus réduit. En effet, elle a troqué sa dizaine de choristes pour n’être accompagnée que de deux choristes, un clavier, une batterie et d’un joueur de tsambouna (cornemuse grecque).

La première chose frappante quand on voit Marina Satti sur scène, c’est la justesse du concert où tout est millimétré et rien ne dépasse. Les tenues sont au diapason – tout le monde est en blanc-, les chorégraphies sont répétées et maitrisées et Marina Satti règne sur son monde telle une véritable cheffe d’orchestre. Sur le titre Pali, son dernier single, elle se permet quelques écarts pour des envolées vocales, mais tout juste. Elle nous a fait voyager en rendant hommage à ses origines en interprétant une chanson en arabe.

Avec un concert qui associe tradition (notamment avec la cornemuse traditionnelle et le chant polyphonique) et modernité, Marine Satti a réussi à construire un show carré de bout en bout, c’est un sans faute et une belle découverte live. 

Une anecdote ? 

Structures

© Mickaël Burlot

Si vous vouliez du rock et de la contestation, c’est du côté de la Machine du Moulin Rouge qu’il fallait aller. À mon plus grand plaisir, j’ai pu y retrouver toutes les sensations de mes concerts adolescents et post-adolescents avec la frénésie radicale de Gargäntua, mais surtout avec l’énergie brute de Structures. Grâce à eux, j’ai pu pendant un bon quart d’heure complètement faire fi de tous gestes barrières et distanciation sociale en pogotant sur le dancefloor de la grande salle de la Machine. Structures nous a prouvé que le rock n’est pas mort et que l’esprit punk était plus vivant que jamais. C’est quand même fou ce qu’une guitare, une basse, une batterie et la voix d’un chanteur charismatique peuvent faire à une foule. 

Conclusion, le pogo, c’est comme le vélo! Merci Structures

Le MaMA selon Mickaël

La claque : PPJ

Découverts lors de la sortie de leur tout premier morceau ‘Nao Sei’, véritable ode à la danse, une grande curiosité est née de voir ce qui pouvait se dégager en live de ce trio franco brésilien.

Et nous n’avons pas été déçus! Paula est un véritable poisson dans l’eau sur scène. Elle danse, joue avec Povoa ou Jerge. Une véritable complicité et joie de vivre se dégage de trio. Quel plaisir d’avoir un peu de soleil pour réchauffer nos petits coeurs en ce début d’automne…!

 

La belle découverte : Thaïs Lona

S’il y a bien un nom qui avait vraiment piqué notre intérêt lors de l’écoute de toute la programmation du MaMA festival, c’était bien Thaïs Lona. En effet, ce fut un vrai coup de coeur à l’écoute, et ce, dès les premières notes de ces morceaux.

La curiosité étant forte, nous avons voulu en voir plus lors son live à la Machine du Moulin Rouge.  Et nous n’avons pas été déçus. Alors que le festival commençait à peine, Thaïs a su embarquer avec elle le public, notamment grâce à  sa voix qui  saura vous toucher en plein coeur.

Si nous devions se prêter aux jeux des comparaisons, je crois que nous pourrions dire que nous avons trouvé la Kali Uchis française, tant pour la voix, que pour l’univers musical capable de passer d’une influence à l’autre.

Une anecdote ? 

7 ans après le premier MaMA, je crois que le divorce est officiellement prononcé entre les sandwichs triangles et moi.

Le MaMA selon Kova

La claque : Thérèse

© KOVA

Commencer le MaMA avec l’un de ses coups de cœur : Check! C’était Mercredi à 19h au théâtre de Dix heures pour aller voir la majestueuse Thérèse accompagnée aux machines par Adam Carpels (dont je vous invite à aussi aller découvrir le projet perso). Si vous avez l’occasion d’aller la voir en concert, n’hésitez pas une seule seconde. Avec son style très affirmé, elle occupe la scène comme personne, autant par des moments de danse captivants que dans une incarnation plus sculpturale de ses textes et musique. Son énergie communicative et ses paroles engagées donnent à ses performances une profondeur qui ne laisse pas indifférent.

La belle découverte : November Ultra

Cette année Le MaMA festival m’a permise de voir beaucoup de groupes que je ne connaissais pas ou que je n’avais pas eu l’occasion d’apprécier en Live (Cimer la pandémie). Par conséquent choisir une unique jolie découverte n’est pas évident… Je me lance, j’espère vous donner envie de découvrir si ce n’est pas déjà le cas, la bouleversante November Ultra, d’un naturel désarmant qui fait naître une proximité avec son public extrêmement touchante.Ces textes sont beaux et sa voix vous chavire le coeur (mention spéciale pour la chanson chantée en espagnol en hommage à son grand-père) Bref on est sous le charme !

Une anecdote ?

Ce qui est très excitant avec ce Festival c’est que tout va à mille à l’heure, on découvre plein de groupes, on rencontre une floppé de monde et on revoit les copains. Dur de ne raconter qu’une anecdote mais je vais être un peu cheesy et dire que la plupart de mes moments préférés ont été ceux passé avec l’équipe de Listen Up & consort. Et je ne dis pas ça car ce sont d’excellents porteur de bière, qu’ils ont une joie communicative (ce concert de Gargäntua mama mia) ou qu’ils vous font des câlins quand vous vous prenez un slameur dans la figure en plein concert de Structures… PIM!

Le MaMA selon Maxime

La claque : Merynn Jeann

En ce deuxième jour de MaMA festival, je me presse vers la petite scène proche de la Machine du Moulin Rouge qu’est le Backstage by the Mill, dans une salle déjà bondée et surexcitée en début de soirée. Le concert est le premier de la journée pour beaucoup (dont moi) mais dès les premières notes, on est conquis par l’aura et la justesse de Merynn Jeann et de son groupe. Avec un quatuor composé d’un batteur, d’une bassiste, d’un saxophoniste et claviériste et d’elle-même, Merynn enchaîne les titres parfois sobres et doux, parfois plus groovy et presque psychédéliques (on ressent parfois même des ambiances à la Portishead très prenantes).

Les compositions sont en tout cas toujours belles et finement écrites, et le groupe joue de manière juste et très maîtrisée ; le batteur nous régale avec des rythmiques jazzy et un très bon ressenti, tandis que le saxophoniste ajoute un vrai plus planant. Mais c’est vraiment Merynn qui fait le show et dévoile une grande sensibilité vocale, tantôt rêveuse tantôt extatique. Le groupe prend du plaisir sur scène et ça crève les yeux, les regards heureux et complices ne trompent pas. Un excellent moment pour cette édition du festival, et pour ma part mon vrai coup de cœur de cette année.

La belle découverte : Lulu Van Trapp

© KOVA

C’est dans une Machine du Moulin Rouge bondée (ou presque) que commence le concert de Lulu Van Trapp en ce deuxième jour de festival, et on sent que le groupe était attendu au tournant. Mais pas d’inquiétude, dès l’arrivée du groupe sur scène, toute la salle se rassure quant à la prestation qui l’attend : de l’énergie, de la personnalité, un côté rétro assumé, et une bonne dose d’humour et de second degré. Mais ce n’est pas non plus un groupe qu’il faut prendre à la rigolade complètement : la prestation scénique est parfaitement maitrisée, les rythmiques sont fortes et alternent entre des moments plus rock’n’roll et d’autres plus mélancoliques, mais toujours avec une attitude nonchalante et il faut le dire très attachante.

La salle est en tout cas rapidement conquise et ça danse de tous les côtés dans la fosse. Le groupe est disposé sur une ligne avec de gauche à droite le batteur, la guitariste, la chanteuse et puis le bassiste, configuration qu’on ne voit pas souvent, avec notamment un batteur debout, ce qui donne à la performance beaucoup d’énergie et un côté très vivant. Le clou du spectacle vient à la toute fin du concert avec la chanteuse qui prend le risque de se joindre à la foule dans la fosse, et profite de ce moment pour donner une prestation vocale très impressionnante qui n’a pu que donner des frissons. Mission accomplie !

Le MaMA selon Mathieu

La claque : Terrier

C’est mon tout premier MaMA, et je dois dire que je n’ai pas été décu ! Entre les conférences captivantes, les apéros où l’on rencontre des légendes de l’industrie et la myriade de concerts (si bien que je ne savais plus où donner de la tête), je nageais dans les bonnes vibes.

Ma belle découverte du Mama, c’était Terrier. Je le suivais de loin en regardant ses clips sur Youtube, surtout le magnifique « L’hiver », clip avec lequel je l’ai connu. Son timbre de voix et sa prose houleuse m’ont donné envie de voir ce que ça donnait en live, et c’était très beau.

Le set était unique, avec Terrier aux voix et parfois guitare (J’étais ravi de voir qu’il faisait partie de la team des telecaster, ce sont des gens de goût) et Gaspard Gomis des Space Dukes à la batterie, un homme qui pourrait taper sur à peu près n’importe quoi et ça sonnerait du tonnerre. Le duo était très efficace sur scène, avec une synergie et une complicité qui fait toujours plaisir à voir entre musiciens.

Les textes sombres et les rythmes complexes ont réussi à me transporter dans les contes de Terrier, entre philosophie punk et romantisme amer. Les résultat est unique et donne envie de suivre ce projet de près. C’est sûr qu’il a pas fini de creuser son trou, le Terrier.

La belle découverte : Structures

J’ai aussi découvert Structures (Un peu après tout le monde, c’est un peu l’histoire de ma vie), qui m’ont mis une sacré pêche dans une deuxième journée de mama rythmée par la gueule de bois et les thés détox. Emporté dès les premiers riffs par une vague post punk, j’ai découvert plus de nuances au son des picards, me laissant dire qu’ils étaient plus qu’un énième groupe inspiré par la noirceur de Joy Division ou de Television. Une rage urgente dans leur morceaux m’ont ordonné de pogoter comme si ma vie en dépendait, chose que je n’ai pas faite depuis presque 2 ans maintenant. Bien joué les gars.

© Mickaël Burlot

Je garde une affection toute particulière au responsable de la sécu de la Cigale, qui après avoir gardé ma guitare pendant 3 jours au vestiaires (chose absolument pas recommandée si tu tiens à tes affaires), me félicite sur ma Fender strat en me disant que quand même, j’étais légèrement fou de faire des trucs comme ça. J’imagine que c’est l’esprit du MaMA qui pousse à faire des choses pareilles.

Le MaMA selon Axel :

La claque : LAAKE

En parfait maître de cérémonie, Laake a su majestueusement ouvrir le festival en faisant trembler la Cigale. Le lac est devenu océan, grondant sous les battements des machines. Se soulevant au gré des vagues géantes des touches du piano. Et se gonflant des cascades d’harmonie pleuvant des cordes et des cuivres que les 8 musiciens accompagnant Laake ont fait tonner et rouler, plus que jamais.

L’ouragan n’aurait pas été complet sans des vents de rais lumineux balayant la salle à l’exact même rythme que le son. Portant la musique au plus profond des émotions des spectateurs, genre, tu sais, quand t’as la larme au coin de l’oeil et que tu oscilles entre « Dieu existe forcément puisque cette musique existe », et «J’en deviendrais presque sentimental » . Laake, dans l’œil de la tempête, a tenu la barre jusqu’au bout. Intense et beau : le MaMA.

La belle découverte : TAXI KEBAB

Chaud chaud chaud de se caler sur un coin de garde corps du backstage tellement la place to être du mercredi soir était surblindée pour le passage de Taxi Kebab. Étant donné que le concert fait l’unanimité pour dire qu’il restera comme une des plus grosses claques du festival, ça se comprend.

L’accord parfait entre le tonnerre délivré par les machines de Romain Henry et le vent désorientant de la voix ferme et du buzuq de Léa Leila Jiqqir ont électrisé un public survolté. C’est ce genre de concerts qui fait se rappeler à quel point le MaMA peut être dingue, quand un bon tiers des 1600 pros invités s’excitent autour d’un groupe, à raison, et viennent bien montrer et crier leur fanitude.

Pas mal de programmateurs ont dû aller les voir pour faire leur marché après le show, et on devrait donc vite retrouver Taxi Kebab dans les salles bien cool de ta région très vite.

Le MaMA selon Grégoire :

La claque : Lucie Antunes

Vendredi 15 octobre, 21h30. Le Mama touche bientôt à sa fin mais il nous a réservé l’un de ses plus grands moments. Comme le final d’un feu d’artifice en somme.

Pendant près d’une heure, Lucie Antunes et sa troupe ont mis une claque monumentale au public averti du Mama. Il n’y avait qu’à voir les têtes éberluées à la sortie et écouter les commentaires de-ci de-là pour se dire qu’on était vraiment pas les seuls à avoir été transportés.

Lucie Antunes, c’est d’abord une expérience sensorielle riche de nouvelles matières sonores. Il y a de la percussion, il y a des voix et il y’ a de l’électro le tout dans un tempo d’abord lancinant, très vite hypnotique et enfin frénétique. Lucie Antunes maîtrise l’art de prendre son temps pour vous transporter dans un univers un peu psychédélique. Les morceaux commencent souvent calmement. Comme une petite caresse électro en guise d’intro. On écoute. On contemple. Et petit à petit on se laisse porter. Parce que la force de Lucie Antunes c’est d’utiliser les percussions pour ajouter toujours plus de sonorité et accélérer le rythme, discrètement, mais sûrement. Le ton monte, les sons se multiplient et Lucie Antunes s’emballent. Elle est belle à regarder quand elle percute. Un premier cri jaillit de la fausse.

Lucie est déchainée. Le public la suit, il n’y a pas d’autres issues en fait. C’est simple, écouter Lucie Antunes c’est comme embarquer à bord d’un grand 8… Vous savez ces trucs un peu fous qui vous emmènent lentement dans le ciel pour ensuite vous précipiter dans le vide à grands coups d’adrénaline. C’est exactement ça ce qu’on a ressenti, et en plus on l’a ressenti à chaque morceau. Voilà c’est ça Lucie Antunes, un shoot d’adrénaline à répétition. Un truc qui démarre dans les pieds, vous traverse le corps et finit par vous envahir le cerveau. Ecouter Lucie Antunes ça donne envie de hurler. On est plusieurs à avoir donné de la voix.

La beauté du live de Lucie Antunes c’est aussi le spectacle audiovisuel assuré par le collectif Scale. Mise en scène incroyable avec des faisceaux de lumière animés par des robots qui entourent Lucie Antune et ses musiciens. L’effet est incroyable et tellement en accord avec la musique. Par moments, le groupe se retrouve encerclé par des faisceaux lumineux bleu, rose, violet… Ça bouge dans tous les sens… Mais avec harmonie svp. Et plus Lucie s’emballe, plus elle fait corps avec la lumière… On dirait qu’elle l’a dompte, qu’elle en fait sienne pour mettre à nue cette énergie qui boue en elle. Oui c’est ça en fait, cette lumière c’est l’âme musicale et percussionniste de Lucie Antunes…

Au final, elle dégage une telle force que la salle finit par sembler bien trop petite pour elle. On se dit qu’on vient d’assister à la naissance d’une future très grande. C’est tout ce qu’on lui souhaite parce qu’en plus d’être animée par sa musique elle est généreuse la Lucie.

Chapeau l’artiste !

La belle découverte : une rencontre…

Mathieu Belchit qui a fondé la Distillerie Musicale, un autre Webzine. Ce mec est un passionné de musique comme nous avec beaucoup de générosité et de simplicité.

Une anecdote ?

Croiser par hasard Vapa à la Boule Noire et apprendre qu’il est programmé au Trans Musicales. Gros sentiment de fierté car je l’ai repéré sur Deezer et programmé à l’édition 2020 du Smmmile !