Avis aux baroudeurs.euses, aux promeneurs.euses d’ici ou là-bas. A celles et ceux qui veulent rêver à partir de ce qui brûle et n’a de cesse de se transformer, respirer à en entendre son cœur battre ou se retrouver, libre, dans le mouvement de l’ensemble. Crash test nous emporte dans un univers retro-futuriste d’accidental rock, de « garage garbage » pour ameuter les âmes aux cœurs fêlés. Découverts la première fois au Gambetta club (20e arrondissement de Paris) le groupe est un coup de tonnerre, un retour vers le futur en mode hymne à l’éternité. Les quatre ami.es offrent un groove débridé enrayant la démence, formant un exutoire rédempteur à la colère ou aux regrets.

Se produisant en live, Crash test porte un hymne à la liberté, à la réciprocité, à tous les sentiers où aux guitares et à la voix, se lie l’harmonica.

Crash test nous entraîne vers un retour aux sources et à l’esprit marginal, volontaire, sans faux semblant, avec la promesse de se libérer de la violence et de pourchasser un rêve de paix et d’harmonie.

Je retrouve dans leurs concerts la joie spécifique à ceux qui combattent frontalement, où l’envie de vivre libre rend le contact au monde plus éminent.

Universels dans le naturel, les écouter m’a rappelé d’aimer à en faire crever ses préconçus, de s’épuiser à la tâche plutôt que de vriller et sombrer dans le désespoir. Puis surtout, de s’attacher à la vie comme aux hanches ou aux pieds des danseurs qui refusent l’immobilité et de respecter toutes les errances. Dans tout chaos il y a un ordre qui fait écho… aux crânes… aux cœurs… en tout cas qui rassemble.

Comme Crash test ne s’est pas encore enregistré sur boîtier, vous pouvez les suivre sur leurs réseaux @crash_test_00 (instagram) vous tenir informés de leurs pérégrinations sonores et les trouver comme moi, en concert.