Cette année, We Love Green a donné carte blanche au Badaboum pour imaginer un nouvel espace dans le festival. Le resultat : Lalaland, un village qui ravira vos oreilles et votre palais!

We Love Green déménage du Parc Bagatelle habituel pour le Parc de Vincennes mais avec une bonne nouvelle : un nouvel espace attribué au Badaboum avec carte blanche! Dans une clairière reculée en marge des grandes scènes du festival We Love green les 4 & 5 juin prochain, découvrez ce village  reprenant l’ADN du Badaboum : polymorphe, libre, débordant d’énergie et défricheur!

Oui car le Badaboum c’est une salle de concerts et de soirées à la programmation pointue mais également un bar à cocktail et une cantine la journée!

L’univers de la salle s’exportera donc le temps d’un week-end champêtre dans le festival le plus écolo de Paris pour une expérience « hippie ». Mais attention hippie dans le sens de liberté, d’insouciance et d’une volonté de créer un monde meilleur.

Côté assiette, la Cantine du Badaboum viendra vous régaler avec de bons produits, une traçabilité intelligente (oui oui écologique on vous dit!)

Pour Lalaland, le Badaboum a donc sélectionné ses artistes coups de coeur du moment, mais également ceux qui feront la musique de demain pour sa scène tout le week-end :

  • Samedi : Fils Du Calvaire – Acid Pauli – Session Victim Live – Matthew Dear – Axel Boman
  • Dimanche : Dave Harrington Group – MASOMENOS – Shanti Celeste – Ame

Axée sur la musique électronique et la pop, cette programmation te fera danser entre deux bouchées des bons petits plats de la Cantine! Chez Listen Up, nous attendons impatiemment les fous furieux Fils du Calvaire, Dave Harrington (binome de Nicolas Jaar dans Darkside) avec son projet « group » et la touche techno de cette belle programmation: Matthew Dear et Ame!

La programmation est à découvrir en musique ci-dessous!

Voila donc une raison supplémentaire de prendre sa place pour We Love Green!

Pour prendre tes places, ça se passe par ici >> http://www.digitick.com/index-css5-welovebadaboum-pg1.html

Mickaël Burlot